Quand cette préparation fut terminée je sentis que des bas étaient enfilés sur mes jambes, que des chaussures étaient ajustées à mes pieds, qu'une perruque était posée et ajustée sur ma tête. Des mains m'aidèrent à m'extirper de la position dans laquelle je me trouvais et à me mettre debout .Je dois reconnaitre qu’ 'au début je vacillais et que je serais tombé sans le soutien énergique de mains inconnus qui ne m'épargnèrent pas toutefois un étranglement angoissant. 

Je dus enfiler par le bas une robe moulante une culotte ouverte......et quand mes geôlières estimèrent le résultat probant je devinai qu'elles quittaient la pièce et me laissaient seul avec celle qui tenait la laisse. 

Des bruits m'entouraient et je sentis des mains me palper sans ménagement. «Elle est ferme cette salope" "elle aime les grosses queues apparemment" Les voix à ma grande honte étaient masculines et vulgaires. Une voix féminine se fit toutefois entendre, toute de noblesse et d'autorité. "Messieurs arrêtez de vous comporter en chiens en rut, ce n'est pas l'heure de la curée"...Le silence se fit et la geôlière qui me tenait me fis comprendre sans parler de me mettre à quatre pattes. 

Donnons à boire à notre esclave, elle doit avoir soif" et tout en riant je devinais qu'elle remplissait un réceptacle métallique qui bientôt me fut présenté. Je dus boire ce liquide jusqu'à la dernière goutte dans un silence étonnant.