Elle  commenta la couleur de mes fesses, rouge, mais pas suffisamment. Madame trouvait qu'elles avaient encore besoin d'une longue fessée. Tu vas avoir mal, très mal ! Dis-moi que tu le veux. Je le veux répondis-je.

- Dis-moi, je veux que tu me fesses très. Je veux que tu me fasses mal. J'étais toujours mi-tremblant mi-excité, les jambes comme du caoutchouc quand elle  prit ce ton de commandement.

J'ai répété ses paroles. Elle m'a demandé de le répéter plusieurs fois. Alors, elle m'a fessé de nouveau. Elle  m'a rapidement fait rougir encore plus intensément les fesses. Je savais que le coup allait arriver. Allongée sur la table, j’attendais entre crainte et envie ; entre passion et peur. J’avais honte pour avoir accepté aussi vite de prendre position, pour m'être soumis, laissant tomber le masque de cet homme fier que je  crois être.
 

Ce fut tout d’abord  la cravache puis le martinet et la canne anglaise. Ah
cette canne dure…Que de coups j ai reçu ! Mes fesses rougissaient devenaient
brulantes et douloureuses. Toutes les sensations ont déferlé en moi, tout s'est mélangé, la douleur, le plaisir. Quand elle s'est arrêtée définitivement, je ne m'en suis pas rendu compte de suite, tellement j'étais dans un tourbillon, une tempête de sensations multiples et contradictoires...