Carnet secret de Lady Dark
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BDSM et législation
Le BDSM, acronyme de Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sado-Masochisme,
Cette domination pouvant s'exercer de façon psychologique et/ou par le biais de contraintes physiques.
Les législations des principaux pays occidentaux n'interdisent plus les pratiques sexuelles BDSM. Toutefois, le Royaume-Uni définit un seuil de pratiques au-delà desquelles le BDSM tombe sous le coup de la loi. L'affaire Spanner (années 1990) qui a consisté en la criminalisation d'hommes consentants, alors qu'aucune plainte de quiconque n'avait été déposée, a jugé coupables des "dominants" sur la seule base des marques laissées sur les "soumis". Une fessée un peu appuyée, un bondage serré sont potentiellement illégaux ; ce jugement a été avalisé par la Cour européenne en 1997).
Il ne faut pas confondre la soumission volontaire, pratique sexuelle, et les violences conjugales. Comme il ne faut pas confondre BDSM avec sado-masochisme, la dimension de douleur est nettement moins présente dans le BDSM qui se centre principalement sur l'aspect domination, ie. la dimension psychologique.
Certaines de ces pratiques peuvent, lorsqu'elles se font sans la connaissance des limites des participants, êtres dangereuses, telles que le fouet aiguilles, la cire chaude, etc. Elles peuvent provoquer des blessures allant parfois jusqu'à l'éborgnement, des brûlures, des coupures et peuvent devenir des risques d'infections ou de transmission de maladies (VIH, hépatites B et C, etc.). Cependant, il faut souligner que ces blessures surviennent rarement dans les scénarios de domination. Une bonne entente entre les participants est de ce fait primordiale.
Il est à noter que la cire chaude est une pratique courante dans le BDSM. Toutefois, ce sont généralement des cires blanches, ou des cires colorées spéciales qui fondent à basse température qui
sont employées. Tout comme les menottes pour la plupart dotées de renforts afin de
protéger les poignets.
Il peut être sécurisant de filmer la scène. Cela permet de montrer dès le début, par un enregistrement, la pleine et entière volonté de la pratique par les participants. De plus, en cas d'abus, un recours à la video permet de voir qui a fauté, quelles règles n'ont pas été respectées.
Quoi qu'il en soit, la pratique du BDSM — comme toute pratique sexuelle — ne dispense ni ne remplace les sentiments des partenaires l'un envers l'autre. Il n'existe pas de « code » à respecter pour « être » ou non BDSM, seule la confiance mutuelle des partenaires, et les sentiments qu'ils se vouent mutuellement en définissent le cadre.
Le safeword est un signal d’urgence, le « pouce ! On arrête ! » du jeu BDSM qui, utilisé par la personne qui se soumet, indique au partenaire qu’il doit
immédiatement et sans discussion interrompre l’action en cours, et la délivrer de toutes contraintes éventuelles aussi rapidement et prudemment que possible. En substitut de l’anglophone safeword est parfois proposé le plus francophone veto, qui était, dans la Rome antique, la formule utilisée par
les tribuns du peuple pour s’opposer aux décrets du Sénat.
Le « droit de veto », dans le BDSM, désigne l’éventuelle possibilité de refus catégorique que peut opposer la personne qui se fait dominer envers une action qui lui déplaît, et ne doit
pas, en ce sens, être confondu avec le code de sécurité – destiné, lui, à alerter le partenaire d’un danger potentiel dont il n’aurait pas conscience.
Certaines personnes choisissent d’abolir le safeword dans leurs jeux, en omettant trop souvent la distinction qui existe entre droit de veto et code de sécurité… le principe revenant alors, pêle-mêle, à priver les tribuns de crier aussi bien
« Veto ! » en cas de désaccord, qu’« au feu ! » lorsqu’ils voient un incendie menacer de ravager le sénat…
Dans un souci d’éviter toute confusion avec d’éventuelles suppliques qui seraient simulées dans le cadre du jeu SM, les partenaires conviennent en général d’un « mot magique » qui sera
sans ambiguïté reconnu en tant que safeword verbal. « Stop ! », par exemple. Ou « safeword ! », « pouce ! »,
« veto ! », « pitié », ou tout bonnement le prénom de la personne dominante, qui appelle rapidement à l’abandon des rôles incarnés, ou bien encore une
codification par couleurs inspirée des feux rouges.
Quant aux safewords non verbaux, rendus nécessaires par l’usage des bâillons, une pratique couramment répandue consiste, pour celui qui domine, à placer un trousseau de clés dans la main de la
personne qu’il prive de la parole : que celle-ci le laisse tomber à terre, et l’alerte d’urgence sera implicitement donnée – ou le droit de veto invoqué.
Code de sécurité ou droit de veto, le safeword est toujours à considérer comme appelant une réaction de la plus haute urgence, quelle que soit la situation, et aussi anodine puisse-t-elle
paraître aux yeux de celui qui contrôle les événements.
est très important, pour les deux partenaires (dominant et dominé) de toujours conserver à l'esprit le confort du partenaire dominé. On peut, par exemple, envisager la rédaction d'un contrat entre les deux partenaires afin d'établir clairement les limites à ne pas dépasser.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bondage_et_discipline,_domination_et_soumission_et_sado-masochisme#L.C3.A9gislations
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par Lady Dark Unique dans la Drôme ! A Crest 20 km au sud de Valence |
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