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Beaucoup de yujo et de geisha se tatouaient pour faire plaisir à leurs clients. Les geisha de haut rang trouvaient le tatouage inélégant et indiscretm et l’évitaient, mais certains clients insistaient et il ne leur était parfois pas possible de l’éviter.
Comme le tatouage pouvait être une source de problème si la geisha avait plusieurs clients, l’ôter n’était pas un obstacle. Il était cautérisé avec une mixture de moxa (herbes séchées) et du feu. Se couper un doigt, les cheveux ou s’arracher un ongle était quelque chose de trop visible, c’est pourquoi le tatouage était la méthode préférée.
Mais la forme extrême d’amour était le shinju, le double suicide (ils sont parfois extrêmes les japonais quand même). Beaucoup d’amoureux l’ont pratiqué au point que ce phénomène a atteint un pic pendant l’ère Genroku (1688-1703). Par la suite, à l’ère Tokugawa, le kishobori perda de sa popularité. » extrait tiré du site : http://www.maxoe.com/kissa/le-tatouage-traditionnel-japonais/