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Initiatives :

 

Le sujet n’exécute aucune action qui ne soit pas originaire d’une demande de la Maîtresse et s’interdit donc toute initiative. Toutefois, si le sujet pense à une chose pouvant améliorer le confort, augmenter le plaisir ou la satisfaction de sa Maîtresse, il peut éventuellement solliciter une autorisation de parole. Si la suggestion déplait ou indiffère à la Maîtresse, l’intervention sera considérée comme un dérangement inutile et punie en conséquence.

L’ensemble des gestes et actes à accomplir pour venir à bout d’une tâche générale ordonnée n’est bien sûr pas considéré comme un ensemble d’initiatives. Le sujet doit accomplir chaque chose de la manière qu’il juge la plus appropriée faute d’instructions précises ou, au contraire, en suivant scrupuleusement le mode d’emploi et la méthode qui lui a été indiquée.

Au cours de l’éducation fournie, la Maîtresse veillera à la bonne application des règles et instructions générales de soumission mais elle indiquera aussi un certain nombre de tâches et rituels immuables auxquels le sujet devra se livrer, avec soin, en respectant la procédure détaillée de chacun, à chaque rencontre, sans attendre pour cela de recevoir d’ordres ou instructions. L’accomplissement de ces tâches est une obligation sauf dispense clairement exprimée par la Maîtresse.

 

Journal et Confession :

 

Le sujet est tenu de tenir un journal ayant trait à sa condition. Ce journal doit être rédigé chaque semaine, remis ou envoyé par la poste, selon le cas, le vendredi ou le samedi de chaque semaine (cachet de la poste faisant foi).

Le sujet doit y noter et raconter tout ce qu’il a vécu et tout ce qu’il a fait dans le cadre de sa soumission, chaque jour, le récit doit être précis, détaillé et outre les actes, le sujet doit aussi noter par écrit tout ce qu’il a ressenti, pensé, imaginé, rêvé, espéré ou redouté. Il doit ne rien omettre de la sexualité du sujet, autant pour ce qui peut avoir lieu durant les séances de soumission, que durant des moments de solitude (fantasmes, masturbation..) ou autre sexualité autorisée par la Maîtresse (hors S.M.). Ses sentiments pour sa Maîtresse et tous ses états d’âme doivent y être librement relatés.

Le sujet ne doit rien dissimuler dans ce journal auquel il doit se confier totalement et sans crainte. Bien que remis à la Maîtresse régulièrement et lu par elle, le journal ne pourra servir à générer de nouvelles punitions. Son but est de permettre à la Maîtresse de mieux juger des pensées, de l ‘évolution et des progrès du sujet et, éventuellement d’en tenir compte. La Maîtresse se réserve le droit, en plus du journal, de « confesser » oralement le sujet, quand elle le désire.

Toutes les fautes et contraventions cachées dont la Maîtresse pourrait prendre connaissance à travers le journal ne feront pas l’objet d’une punition particulière, ceci afin que le sujet n’ait aucune répugnance à se confier de crainte d’être trop sévèrement puni. Afin que ces fautes ne restent pas totalement impunies et cela pour le bien du sujet, elles feront l’objet d’une « punition forfaitaire », appelée « pénitence », cette pénitence sera composée d’un certain nombre d’obligations modestes et de mortifications légères aux quelles le sujet devra se livrer tous les vendredis soirs, moment choisi pour cela. La pénitence sera adaptée à la situation personnelle du sujet.

 

La pénitence pourra, malgré tout, être allégée ou aggravée, après une confession orale, si le besoin s’en fait sentir tout en restant dans des limites modestes. Les règles et dispositions relatives à la pénitence sont communiquées oralement par la Maîtresse.

A propos de la pénitence, comme pour tout autre disposition, il est important que le sujet garde toujours à l’esprit que la Maîtresse n’a que des droits, jamais d’obligations – la pénitence n’est donc pas une obligation que la Maîtresse devrait à l’esclave chaque semaine ; comme pour tout autre chose, elle est un droit dont elle décide d’user ou pas à sa convenance. Contrairement à la Maîtresse, l’esclave a des obligations et ses droits sont réduis à ceux spécifiquement indiqués dans ce contrat.

 

Disponibilité du sujet :

La disponibilité psychologique du sujet et sa motivation sont manifestés par la tenue correcte et régulière du journal et la régularité des séances. La disponibilité dans le temps et l’espace doit être satisfaisante tout en tenant compte des obligations professionnelles, familiales ou autres, acceptées par la Maîtresse.

Le sujet ne pourra opposer de refus si la Maîtresse le convoque durant les jours qu’il a annoncé comme libres ; de même un rendez-vous manqué ou un retard seront considérés comme de très graves fautes. Le sujet devra apporter la justification de ces fautes (obligation professionnelle imprévue, empêchement sérieux etc.) mais doit être conscient du fait qu’aucune justification, même la plus sérieuse, ne le dispensera de la punition. Ce qui est primordial c’est la  satisfaction de la Maîtresse et non pas la justice ou le mérite des punitions, si la Maîtresse a été contrariée par un retard ou une absence, ce qui est juste c’est que cela soit réparé, même si le sujet ne pouvait pas faire autrement. A la signature du contrat, il doit donc accepter par avance et approuver ce genre de brimades. Toutefois, si la Maîtresse juge l’explication fournie par le sujet insuffisante, douteuse, irrecevable ou si cela se reproduit trop souvent, cela peut être un motif de rupture de contrat immédiate, sans autre formalité.

 

Règles d’aspect physique- équipement

 

Lors de sa possession, le sujet adopte une apparence conforme aux souhaits de la Maîtresse. Il doit, de plus, entretenir une propreté sans faille de son corps et des objets qui lui sont confiés.

Il doit se procurer le matériel nécessaire et exigé par sa Maîtresse. Ce matériel peut indifféremment être acheté ou confectionné directement par le sujet. Les exigences particulières de la Maîtresse sur l’aspect esthétique (couleur, matière, forme…) ou la fonctionnalité de chaque objet doivent bien sûr être respectées.

Le minimum requis est le suivant :

-         bracelets de contention aux poignets, noirs, en cuir ou matière similaire (l’esclave peut réaliser lui- même  si le travail est soigné)

-         bracelets de contention aux chevilles, assortis aux précédents (idem)

-         collier de type collier de chien, de couleur noire, clouté (la Maîtresse autorise l’achat d’un véritable collier de chien, en animalerie dans un souci d’économie, si nécessaire)

-         cage pénienne ou ceinture de chasteté ou tout autre accessoire de bridage, rendant impossible l’érection, la masturbation ou la manipulation (l’esclave dont les moyens sont limités peut acquérir un petit cadenas doré et esthétique, choisis à sa taille, qui, placé sur la base du sexe constitue un instrument de bridage et de chasteté suffisant)

-         cagoule de couleur noire, en tissu fort, cuir ou simili cuir, latex ou imitation latex, avec caches pour les yeux, fermeture éclair au niveau de la bouche, trous pour le nez. L’esclave peut la confectionner lui-même, là encore seul un travail soigné et réussi sera accepté.

-         un bonnet d’âne de forme classique, en carton ou en papier pourvu de longues oreilles – un masque de carnaval représentant cet animal est également accepté.

 

Dans le but d’une féminisation, le sujet accepte, si la Maîtresse le décide et sans que le sujet entretienne l’espoir d’accéder à une classe supérieure, d’être rasé régulièrement et intégralement sous la ceinture et sur le corps. Rasage effectué sur les cuisses au niveau des jarretelles des bas, l'anus et le sexe de votre esclave. Le torse de votre esclave sera rasé afin de pouvoir porter SG. BUSTIER ET CORSET et   et de porter sur ordre tous les accessoires requis, à savoir, parmi une liste non exhaustive :

-         corset

-         chaussures à haut talons

-         bas couture

-         porte jarretelles

-         rouge à lèvres (le dessin devra être particulièrement soigné et la charge suffisante)

 

      Le sujet devra posséder au minimum une paire d’escarpins (talons 5 cm minimum), des bas et une porte jarretelle.

 

 

Règles d’Expression Orale

 

Le  principe général est la soumission à une absence totale d’expression orale, sauf accord ou question ou injonction de la Maîtresse, et dans les conditions suivantes :

-         Le sujet n’étant que possession, il ne peut employer les expressions de possession telles que « Ma Maîtresse » ou « Ma queue ». Les expressions à employer expriment l’abandon à la Maîtresse, de type «  La queue de Votre esclave ».

-         L’autorisation de parler est demandée par le sujet, avec révérence, au moyen de l’expression «  Maîtresse Maitresse Naomi ou Lady Dark, puis-je vous adresser la parole ? » à l’exclusion de toute autre expression et en position de prosternation, la Maîtresse restant libre de répondre ou d’ignorer la demande.

-         la voix doit  être  et enjouée.

 

Sanctions :

 

Toute contravention est sévèrement châtiée, avec pour objectif de faire cesser ces obstacles à une éducation convenable du sujet.

 

Sam 9 avr 2011 Aucun commentaire