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Confession de Sonia J’avais répondu à une annonce sur vivastreet "dominatrice noire recherche soumis motivé pour aujourd'hui. Donnez tel portable pour indications utiles à notre rencontre" Une voix sensuelle m'avait rappelé très vite après que j'ai répondu."Ecoute-moi et ne m'interromps à aucun moment ; tu vas te rendre au 13 rue des arcanes à Marseille, tu monteras au dernier étage et tu verras une porte ouverte que tu franchiras, je ne t'en dis pas plus si ce n'est que tu n'as que trois heure pour m'y retrouver. Alors magne" et la voix raccrocha. Je me dépêchais de me préparer et très vite je m'installais dans ma caisse avec du bon reggae. Les kilomètres passèrent assez vite à plus de 160km/h de moyenne et deux heures plus tard j'étais à Marseille. J’avais un peu de temps devant moi et j'en profitais pour flâner dans les rues très animées pas loin du Vieux Port. Vint le moment où je devais accepter mon destin et aller au devant de l'inconnu d'une voix dont je ne connaissais pas l'incarnation charnelle. Devant la porte du 13 deux vieux arabes discutaient dans leur langue; Ils me laissèrent passer très poliment mais j'aurai juré qu’ils avaient esquissé un petit sourire de complicité en me voyant. Quoi qu'il en soit j'avalai les escaliers et me retrouvai au dernier étage. Je rentrai sans hésiter dans l'appartement ouvert et après avoir essayé plusieurs portes me retrouvai dans une pièce entourée de glaces sans tain. "Déshabille toi m'indiqua la Voix, montre ton cul." j'obtempérai; il n'était plus temps de se poser des questions "A quatre pattes et marche en tortillant du cul, je veux que tu m'excites salope" je fis de mon mieux allant jusqu'à écarter mes fesses pour dévoiler mon petit trou du cul " c'est bon mets toi à plat ventre et écarte les jambes au maximum." Je restais bien 20' à attendre le prochain ordre qui fut tout aussi lapidaire "enfile les fringues sur le futon dans le coin et tous les accessoires" je dus enfiler un short en vinyle des bas des cuissardes, un bustier... une affreuse perruque rouge me mettre du noir à lèvres.....et je n'avais pas vu le slip avec un gros gode. "C'est bon salope descends les deux étages, marche jusqu'à la porte d'entrée, et remonte aussitôt" Je descendis non sans peine, honteux de mon accoutrement et gêné par mes talons très hauts et le gode qui me remplissait. J'arrivais en bas où je revis mes deux vieux toujours occupés à discuter. Ils me regardèrent en souriant mais je ne m'en occupai pas et remontai le plus rapidement possible. Je retournai dans la pièce vitrée " A quatre patte salope et ne bouge plus" j'attendis dix minutes quand j'entendis des pas se rapprocher de l’endroit où je m'exhibai sans vergogne.