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Image hébergée gratuitement chez www.imagehotel.net hébergement de photos et d'image HISTOIRE VRAIE Réduit en esclavage par ma voisine J'ai toujours été fasciné par les femmes bottées et moulées dans leurs pantalons ou jupes noirs. Elle sont fières, froides avec cet indicible charme suscité sans doute par leur rigueur : ton autoritaire, gestes fermes, sévérité dans le regard, démarche altière. Jamais je n'avais osé leur adresser la parole. Je me contentais de les épier et de me masturber en songeant à elles. Pourtant, il y a de cela deux mois, une femme d'une trentaine d'années à aménager près de chez moi. Elle pratiquait du cheval et était particulièrement sévère dans son regard. Sans être d'une grande beauté, elle m'attirait. Sa plastique quoique ronde ne manquait pas d'être excitante d'autant qu'elle portait très souvent du latex et du cuir qui lui seyait à merveille. Je décidai de la suivre un après-midi où moment où elle montait à cheval. Elle se tenait droite sur l'animal et le domptait à merveille. J'appréciais beaucoup les exercices de trot. Ses hanches oscillaient au rythme de la bête. J'observais ses fesses rondes et musclées gainées d'un fuseau noir qui semblait véritablement l'envelopper d'une seconde peau. Une peau chaude, brillante, douce et lisse, parfaitement tendue sur ses muscles fins et puissants. Dans sa main gantée, elle serrait une cravache longue et fort cinglante, je l'appris à mes dépends. Elle vit que je la fixais. Elle me regarda dédaigneusement. Sûr de moi, je me mis à fixer son buste tendu, ses seins lourds aux tétons turgescents. Alors, d'un regard elle me fit signe de la suivre dans l'écurie. Elle attacha le cheval. Elle me demanda qui m'autorisait à l'observer ainsi comme une vulgaire marchandise. Surpris par le ton je balbutiais quelques minables excuses et reçu en retour une gifle. Je l'avais bien mérité. « Baisse le regard devant moi» cria t-elle ! « Je sais mâter ces nobles animaux que sont les chevaux. Ce n'est pas une misérable vermine, un pseudo mâle qui me manquera de respect. .. Baisse les yeux devant moi ! Ordonna t-elle. Comme je n'obéissais pas assez vite, je reçus un coup de cravache sur le torse. Sur quoi, elle me poussa violemment sur la paille souillée des excréments de la bête. Une incroyable chaleur inondait mon bas ventre. Elle s'en aperçu et rite. Elle me jeta sa carte de visite au visage ordonnant de me rendre dans son domaine en fin de journée;. J'étais rouge de honte mais très excité à l'idée de la voir. Je savais que ma vie n'aurait de cesse que d'être offerte à cette belle dame. J'étais prêt à lui obéir. Elle portait une robe en cuir rouge, des gants. Avec humilité, je voulais lui baiser les mains. Elle me gifla car je n'en avais pas reçu l'ordre. Je suis son objet et elle seule peut m'indiquer ce que je dois faire lorsque je suis sur son territoire. C'est à prendre ou à laisser hurla t-elle. Bien sûr j'acceptais et comme Madame sait se montrer bonne, elle enfonça ses doigts gantés dans ma bouche et je les suçais avec délectation. C'est ainsi que je décidais d'être son esclave. Cela fait deux mois aujourd'hui et Madame me demande les bourses attachées, la queue scotchée sur ma cuisse de vous écrire une de mes confessions. Je décide donc de raconter ce qui m'est arrivé il y a quelques instants. Je suis arrivé à vingt heures chez ma Maîtresse. Ce soir, Madame a gainé ses formes généreuses et fermes dans un body en latex. Cette matière met en valeur ses mouvements félins et son opulente chevelure. Elle a chaussé ses bottes à talons aiguilles du plus bel effet. Je suis en transe devant Madame. Sa tenue suffit seule à stimuler mon désir sexuel. Je sais qu'elle me manipule comme bon lui semble et je l'aurais moins aimé si tel n'était pas le cas. Elle n'hésite pas à claquer son fouet quand je me montre indocile. J'ai l'impression qu'elle a le pouvoir de m'emprisonner d'un seul baiser. Je suis prêt à succomber.
Ven 3 aoû 2007 Aucun commentaire