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Image hébergée gratuitement chez www.imagehotel.net hébergement de photos et d'image Je suis sa chose, son esclave personnel. Très vite, je revêts mes chaussures à talons, un petit haut en cuir moulant. Madame décide de me cagouler, d'attacher mes bourses avec un « serre-couille» cela m'évitera de bander car c'est temps-ci, j'en avais pris une mauvaise habitude ! Je suis hanarché de cuir, des chaînes entraves mes chevilles. Je fais parti de ses bestiaux mâles, car je ne suis pas seul mais je n'ai pas le droit d'être jaloux. Elle enlève sensuellement son body, un soutien-gorge se cache en-dessous. Elle plante dans ma chair frissonnante, les aiguilles de cuir noir de ses bottes d'abord sur mes épaules puis sur mon dos. Sous ses ordres, je reste recroquevillé de longues minutes. Puis Madame, avec une badine me frappe sur le dos. Elle aime à me frapper car dit-elle, si on n'y prend garde un esclave perd vite l'habitude des coups, il devient douillet paraît-il. Heureusement, Madame sait user de son fouet! Elle aime mon cul qu'elle trouve beau. Aussi, devant elle, je suis toujours fesses nues. Elle a une superbe collection de fouet, d'ailleurs, je n’hésite pas à lui en offrir pour mieux me punir. Elle me chevauche et comme je ne me montre pas à la hauteur, elle me donne un coup de badine qui me fait sursauter. Je tente un geste sournois pour esquiver le coup. Alors, elle se déchaîne sur moi en tirant sur ma laisse et me fait « mordre la poussière». L'animal est mâté, je suis pantelant et j'ai la queue tellement dure que j'en ai mal. Elle me caresse les fesses et m'autorise à boire dans mon écuelle. J'ai l'ordre de cambrer les reins pour mieux offrir mon cul qu'elle flatte comme si je n'étais qu'un simple animal. Mes bourses sont emprisonnées. Elle me demande de respirer l'odeur de sa chatte et de lui donner ainsi du plaisir. Quel délice, j'ai envie de la lécher. Je renifle, je suis au bord de la jouissance ? Je sais qu'il est hors de question de me laisser aller tant que Madame ne m'en a pas donné l'autorisation. Je frotte mon nez contre son clitoris. Madame apprécie. Puis d'un seul coup, elle me tire sur ma laisse et une claque résonne sur mon fessier. Je suis désemparé. Elle m'avait intimé l'ordre de m'occuper de son joli minou et voilà qu'elle me reproche de l'avoir fait ! Madame est capricieuse. Elle sait que j'aime me sentir en péril, sans repères, incapable de trouver mes marques. C'est elle qui décide. Je reste servile et humble face à ses exigences. Madame est satisfaite. J'étais à genoux, je suis tombé à quatre pattes d'un coup d'instrument, elle me voulait en levrette. A peine dans cette position, une claque me faisait allonger à même le sol. Je me suis mis à mouiller. Madame a besoin de ma queue. Seul mon membre compte pour elle à cet instant, je lui suis complètement indifférent. Elle ôte l'objet qui emprisonne mon sexe. Ma queue se dresse longue et dure. J'ai toujours ma cage Ma maîtresse se frotte énergiquement sur mon visage Elle se masturbe se servant de ma tête pour se faire du bien. Je reste immobile. Alors, J’enlève la cagoule et nous nous mettons en 69. Je lui aspire le dito, me régale de sa liqueur intime, lèche avec ferveur son minou odorant. Pendant ce temps, elle se contente juste de quelques coups de langue sur mon sexe et mes cuisses. Je suis si heureux d'avoir le droit de la faire Jouir avec ma bouche que mon sexe s'allonge, gonfle dans de bonnes proportions. Madame est particulièrement contente du résultat. Elle décide de s'asseoir sur ma queue dressée. Elle en dispose comme d'un godemiché. Je dois rester immobile et éviter de haleter. Bien sûr, je ne veux pas contrarier ma maîtresse. Elle s'empale sur moi. Elle remue les reins, bouge si violemment que j'ai l'impression que ma queue va se tordre. Elle jouit une première fois. Elle fait mine alors de vouloir, pardonnez l'expression, s'enculer. Elle se cambre. J'enfonce mon pouce dans son anus mouillé d'excitation. Je suis fière de la mettre dans cet état. Elle pose ses fesses sur ma queue puis finalement décide de se mettre en levrette. Je suis un peu déçu de toujours devoir garder cette matière sur mon visage. Elle le fait exprès pour me montrer que je ne suis que sa chose qu'elle utilise pour son seul plaisir et non le mien. Aussi tout doucement je m'enfonce, dilatant peu à peu son œillet, une fois détendue, elle se défonce elle-même sur ma queue. Elle jouit de nouveau. Je réussis à ne pas débander. Elle sourit. Elle m'ordonne d'enlever le masque qui m'étouffe. Je le mérite enfin! Elle retire son soutien-gorge, laissant surgir ses lourds seins sublimes. Elle me fait alors, ce qui est très rare, l'honneur d'une fellation. Aussitôt sa bouche fardée descend le long de mon sexe en laissant des traces rouges. Elle griffe mes couilles. Elle tète le gland puis le mordille de plus en plus fort. J'ai envie de crier, j'ai envie de jouir. Insensible à mes émois, elle descend de plus en plus loin le long de la verge, de plus en plus vite. Ses seins gonflent, ses bouts sont durs. Elle presse mes couilles, elle aspire ma queue. Alors, je n'en peux plus. Je saisis mon sexe pour me branler. Grave erreur idiot que je suis ! Je vais payer très cher cet excès de débauche. Je me croyais presque l’égal de ma maîtresse à ce moment-là celle –ci décide de me punir cruellement…A SUIVRE
Ven 3 aoû 2007 Aucun commentaire